SYSTÈME OPÉRATIONNEL DU POINTAL ENERGÉTIQUE

Les pyramides -supérieure et inférieure- (inverse) fonctionnent comme générateurs, récepteurs ou diffuseurs d’énergie subtile, entre divers types d’ondes et fréquences, sans aucune alimentation mécanique, se localisant dans tout le sommet, formant un seul axe central, supérieur et inférieur. Cependant, c’est la pyramide inférieure qui règle le dosage de libération, diffusion et transmutation de ces champs subtils.

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Ce générateur est, en fait, un conducteur energétique qui transporte un type d’énergie « diélectrique ». Quelques minéraux ou artefacts diélectriques avec axes polaires semblables peuvent acquérir sous pression, une charge électrique positive relative à une des extrêmités et négative à l’autre, ce phénomène est connu comme « piezélectricité ». Si une tension est appliquée le long de son axe polaire, la charge sera invertie en fréquences électromagnétique ou électroprotonique avec amplitude et longueur d’ondes différentes. Le générateur interne du système opérationnel de la pyramide supérieure et inférieure est composé par des faisceaux subtils localisés symétriquement sur toute la structure cristalline des pyramides, déchaînés par une source naturelle d’émission : « molécules de siclicium (SiO2) formeurs du réticule cristallin, lesquelles sont pressionnées par gravité contre la base de métal de l’appareil ».
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Cette source provient d’un flux continu de libération de sous-particules atomiques, comme les neutrinos, par exemple. À part d’infinissables énergies subtiles qui travaillent en ensemble interférant positivement dans notre système organoélectronique, pouvant même être senti par le système cristallin du DNA. Ces faisceaux subtiles voyagent en flux ou irradiations dans les « tunnels »des structures des particules cristallines en tout l’axe du cristal de l’appareil, les flux sont produits très proches des intercessions des disques des electrons et des cubes* de protons qui facètent la pyramide supérieure. Dans ces positions, les systèmes d’ondes subtiles ou mineures qui entrent dans les tunnels, sont comprimés et finissent en accompagnant le tour des disques d’électrons. Qui, par conséquent, sont lancés dans l’ambiance spatiale locale, selon le principe de l’appareil, comme FLUXS.

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Les vitesses rotationnelles des systèmes qui participent des périphéries des disques qui facètent la base de cristal de la pyramide supérieure, produisent des ondes synodiques, matériaux dont la vitesse est supérieure à la vitesse de la lumière. Ainsi, nous pouvons affirmer que les systèmes composants des fluxs qui sont irradiés par le générateur cristallin développent des rotations très élevées pendant qu’ils se propagent dans les ondes synodiques. De cette façon, les systèmes intégrants de ces ondes , non seulement se propagent comme ondes électromagnétiques à la vitesse de la lumière, mais sont aussi combinés dans ces ondes où ils tournent à une vitesse supérieure à celle de la lumière.

Ainsi, ce sont les disques d’électrons composants des cubes de protons qui tournent à des vitesses periphériques bien au-dessus de 300.000 k/s qui proportionnent cette vitesse aux ondes synodiques électromagnétiques qui transmutent divers types de fréquences, lesquelles peuvent interférer dans tout le bio-champ des êtres, désactivant de cette façon les charges parasitaires d’origine photonique électromagnétiques ou géopathogéniques et interagissant avec la conscience en l’activant profondément.

La pyramide inférieure (inverse) est le doseur de cette énergie électromagnétique et électroprotonique, comme déjà dit.
L’ensemble récepteur, doseur et dissipateur, a comme objectif maintenir tout le système de transmutation fréquencielle décrite ci-dessus, stable et en équilibre. Telle transmutation d’énergies harmonieuses et subtiles seront alors libérées rythmiquement par la pyramide inférieure qui est invertie, en dosant en formes de champ de sous-particules atomiques, les ondes provenant des tunnels des sommets cristallins qui sont dans les axes moléculaires cristallins, lequels furent antérieurement processés par le cristal majeur de la pyramide supérieure. Telle libération interagira avec l’appareil en atteignant les symboles radioniques et en dirigeant ce champ subtil vers la bobine (Labyrinthe de Chartres) étant alors philtrée par le Scap et dissipée par l’actuel momentum physique ou extraphysique.

Le système est donc totalement aléatoire à des limites ou paramètres tels que : dimension, temps, espace et masse, car, même les neutrinos, soit électrons ou muons, qui sont les sous-particules ou ondes libérées par le Pointal, peuvent voyager à des distances incalculables dans les divers « univers »et si nous considérons qu’ils entrent dans un micro-trou blanc ou noir, nous ne saurons jamais en quelle dimension ils seront, et encore moins, en quel genre de masse ils perméabiliseront.

L’ensemble générateur/doseur est auto rechargeable et recevra par lui-même, de façon continue, instantanée et pour un temps indéterminé, son auto-génération d’énergie.Je crois qu’il peut se recharger pendant des millions d’années de n’importe quelle énergie qui est libérée en forme de fluxs synodiques, mais, dépendant du commandement mental imprimé dans le système., il pourra aussi cesser, ou « congeler »telle génération d’énergie subtile, puisque l’appareil fonctionne exclusivement avec le champ de fréquence mentale de son propriétaire, installé lors de sa connexion ou activation.

La transférence d’énergie (fréquence) d’une pyramide à l’autre, arrive à la surface de contact de l’une avec l’autre, mais elle est impulsionnée par la pyramide supérieure qui, comme elle est attirée gravitationnellement vers la base de métal, a une libération neutrinique plus forte. Ce qui ressemble curieusement à la structure moléculaire basique des silicates dans la sous-division dénommée « ciclossilicates ». Nous verrons ce point plus loin.

REGISTRO GEOMÉTRICO, CRISTALOGRÁFICO E ATÔMICO DAS PIRÂMIDES DE CRISTALCRISTALOGRAPHIQUE ET ATOMIQUE DES PYRAMIDES DE CRISTAL

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Cristaux Liquides du DNA –
http://micro.magnet.fsu.edu/micro/gallery/dna/dna.html
sistema_5_smallUn minéral est un corps naturel, homogène, la plupart des fois inorganique et solide.
Cependant, les cristaux obtenus par l’homme à partir de l’évaporation de solutions, de la sublimation d’un gaz ou moyennant la solidification de la matière fondue, ne sont pas proprement dit « minéraux »et si « artefacts », donc continuent homogènes, car les particules constituants (ions, atomes, molécules) se répètent dans le même ordre et à intervalles réguliers dans la structure cristalline, également solides, dans la mesure où ils ont leur propre volume et dimension ; et leurs sistema_6_smallparticules constituantes se retrouvent unies par une grande force de cohésion. Telles particules peuvent être disposées en ordre parfait, produisant, dans ce cas, les cristaux.
L’image ci-dessus est un exemple d’une structure cristalline du Chlorate de sodium.

Le cristal de l’appareil Pointal Energétique est donc un artefact dont l’arrangement régulier des molécules formulées du réticule cristallin forme des corps symétriques et les éléments sont des faces, arêtes et versants physiquement équivalents. Il peut être divisé par un « plan spectaculaire », dénommé « plan de symétrie ». À l’état solide, un cristal est un arrangement tridimensionnel de particules selon un padron défini de répétition. Ces particules (atomes, molécules ou ions) occupent les versants de minuscules parallélépipèdes qui, juxtaposés en rang et en colonne forment le nommé « réticule spatial ». Les particules dans les versants des parallélépipèdes ou « cellules unitaires » sont des « noeuds », points d’entrelacement de la structure.
Une série de noeuds disposés dans la même direction forme un « rang »et plusieurs rangs dans la même direction définient un « plan reticulaire ».

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Structure réticulaire des particules du cristal

Il existe 14 types de cellules élémentaires, aussi nommées réticules spatiaux, superposées ou relationnées entre elles de façon à couvrir tous les combinés possibles de points dans l’espace..

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Le système et la classe de cristalisation identifient le cristal avec le maximum de précision. La « forme » est le groupe de faces physiquement équivalentes, mutuellement liées par des éléments symétriques. Dans un cristal, il peut y avoir beaucoup de formes.

Dessin des formes des cristaux :

La classe à laquelle appartiennent les pyramides de cristal du Pointal Energétique est celle des Silicates.

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Tout silicate contient du silicium (si), un élément tetravalent. L’analyse structurelle montre que le ion du silicium(Si4+) est toujours au centre d’un tetraèdre dont les versants sont occupés par quatre ions d’oxigène (O2-). On forme de cette façon le silicate ( SiO4)4- , structure basique des silicates et par conséquent, des cristaux de l’appareil, et dans le cas de la structure moléculaire de l’artefact, nous avons que la classe ou la sous-division à laquelle appartiennent les cristaux du Pointal sont celles des ciclossilicates, où trois, quatre ou six (le plus habituel de tous) se réunissent en formant des anneaux, très semblables à une étoile de six pointes.

Ciclossilicates

En étudiant les formes de cristaux, il est très important de définir le système d’axes du cristal et la position des faces. C’est-à-dire, fait par le choix de trois axes de reférence qui s’accorde avec le cristal et de trois de ses arêtes non situées dans le même plan, donc, une analyse tridimensionnelle. Les lignes parallèles aux arêtes qui se croisent à un point à l’intérieur du cristal, forment les « axes cristalographiques »qui, dans l’ensemble, forment le « système des axes ». L‘axe tourné vers l’observateur est l’axe « x », l’axe horizontal, parallèle à l’observateur est « y », l’axe vertical est « z ». Les directions positives de chaque axe sont les suivantes :

Pour x, du centre d’origine en direction à l’observateur ;
Pour y, du centre d’origine en direction à la droite de l’observateur ;
Pour z, du centre d’origine en direction ascendente.
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Systèmes de l’axe des Cristaux

Les directions positives de chaque axe forment des angles définis de la manière suivante :

Alfa = y.z Beta = x.z Gama = x.y

Dans le cas le plus simple, Alfa = Beta=Gama=90º Alfa, Beta et Gama sont dénommés « constantes angulaires »du cristal.

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Une étude connue sous le nom de loi de Hauy, préconise que les indices des faces d’un cristal sont représentés par des numéros racionaux et curieusement bas. Hauy est arrivé à cette formulation en se basant sur sa propre conception de la structure cristalline, vue comme répétition périodique et tridimensionnelle du plus petit solide existant. Toutes les sistema_13observations expérimentales confirment sa théorie. Il est vrai que, dans l’actualité, personne ne se réfère à ces solides comme composantes d’un cristal, mais des atomes, ions et molécules. Cependant, la distribution spatiale de ces particules imaginée par Hauy est exacte.

Maintenant, voyons comment sont disposés les cristaux du diamant :
sistema_13_smallPensez à la ressemblance des Ufos triangulaires avec la proposition de l’équation de la conception de la structure cristalline faite par Hauy !

Les Cristaux possèdent des symétries variables, quelques uns ont : Un plan de reflexion, un axe binaire et l’axe de symétrie, d’autres présentent aussi le même axe de symétrie, mais il peuvent arriver à avoir : neuf plans de reflexion, quatre axes ternaires, trois axes quaternaires et six axes binaires ! Cela donne une équation extrêmement complexe en ses symétries.

sistema_15_smallIl existe 32 formations possibles des éléments de symétrie. Telles formations déterminent les diverses classes cristallines, elles expressent la symétrie possible de n’importe quel cristal. C’est le degré de symétrie qui détermine et indique la somme des divers éléments comme : plans, axes e centre, typiques de chaque classe, où les constantes cristalographiques de chaque classe fournissent la base de son « GROUPEMENT EN SYSTEMES » ;

( Je demande une attention spéciale pour ce terme GROUPEMENT car il aura une profonde liaison avec les études des Hyades, que nous analiserons à la fin de cette étude).
Chaque système inclut les classes qui ont le même système d’axes et la même raison Paramétrique. En chaque classe, les formes du cristal sont indiquées par la position de l’indice entre parenthèses, où, les indices de face fondamentale sont la raison entre ses paramètres ; donc, ses indices seront (111). On conclut alors qu’elle est indiquée par la formule et la face fondamentale, par (111).

Alors, selon la raison paramétrique de la face fondamentale, il existe sept systèmes qui se groupent, à leur tour, en trois groupes, qui sont :

1-) ISOMÉTRIQUES – Composés exclusivement par le système cubique (homonime), avec une face fondamentale qui détermine trois paramètres égaux dans les axes sistema_16_smallcristalographiques.

2-) DIMÉTRIQUES – Formés par les systèmes hexagonal, trigonal et tetragonal, où la face fondamentale produit deux valeurs différentes dans les axes cristalographiques.

3-) TRIGONAL – QUI EST LE SYSTÈME DE L’APPAREIL POINTAL ENERGÉTIQUE EN SA SYMÉTRIE CRISTALLINE – Formé par les systèmes ORTORROMBIQUES (FORMAT DE L’ENSEMBLE CRISTALLIN DU POINTAL ÉNERGETIQUE), Monoclinique et triclinique, dans lesquels la face fondamentale produit trois valeurs différentes dans les axes cristalographiques.
Encadrement du Pointal Energétique dans le Cadre de Système Cristallin :

Les faces des cristaux du Pointal Energétique sont donc : trimétriques, formés par les systèmes Ortorrombiques, dans lesquels la face fondamentale produit trois valeurs différentes dans les axes cristalographiques.
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Face : Trimétriques

sistema_18Forme du système cristallin : BipyramideRombique (hkl)

Système : Ortorrombique.

Constantes cristalographiques : ? 90º ( a : b : c )

sistema_20_smallNuméro de classe : 3

Classe plus symétrique : bipyramidale rombique, 3P, 3A2, C

Type : A2

SYSTÈME TRIMÉTRIQUE DU POINTAL

Autre ressemblance très interessante, un type de UFO bipyramidal rombique ?

À ce que tout indique, les extraterrestres dominent, d’une façon quelconque, une très haute connaissance de structures cristallines et probablement, c’est cette connaissance qui leur permet leur transport ou leur propre développement technologique !

Pelliculaire :- Comme les fréquences subtiles processées par l’appareil sont très élevées, il n’y a pas de façon de les transporter par conducteur. Ces fréquences se propagent sous forme de « ondes »en toutes les directions de façon à former des cercles concentriques et symétriques autour de tout le Pointal.

Cela présuppose que telle est la forme avec laquelle la pyramide supérieure synthétise les ondes subtiles en captant, neutralisant ou transmutant des particules fréquencielles à travers des fluxs synodiques d’énergie subtile sous le « Principe Pelliculaire » ; étant donné que le doseur aussi opère sur le même principe. Les niveaux de microvoltage, théoriquement, sont dans l’ordre de « m.v »- de façon à ce que le facteur d’impédance soit également très bas entre les pyramides, afin que les fréquences processées puissent être élevées ( MHz) ou ( GHz).
De la même façon, le facteur d’amortissement (damping factor) exige peu de tension pour rendre l’appareil opérationnel dans la transmutation de fréquences en forme d’ondes oscillatoires.

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En revenant au dessin du format des pyramides, nous notons qu’elles sont alignées sur un même axe. Cette condition se fait au delà de celles déjà expliquées ci-dessus, car elle apporte aussi quelques fonctions importantes, telles que :

a) a) Maintenir l’ensemble entier aligné sur un axe ZENIT-NADIR, qui maintient l’ensemble géométriquement symétrique, fonctionnant comme conducteur pour l’autre aire de l’appareil, la base métallique.
b) b) L’axe ou axis est relationné à l’alignement vectoriel – planète/espace céleste.
Rappelant que la ligne de l’équateur célestiale est positionnée à 0º par rapport au soleil, ou soit, la Terre maintient une orbite fermée avec cette ligne qui est positionnée au centre du soleil. D’autres planètes ont leurs orbites inclinées angulairement par rapport à l’équateur celestial. Sur cette ligne des planètes, sont les faces des éllipses de leurs orbites.
Aussitôt en dessous du vertant de la pyramide inférieure, il y a le labyrinthe qui coïncide exactement avec le même axe de l’ensemble pyramidal. Le labyrinthe agit comme une bobine inductrice, avec un facteur d’inductance très bas, il reçoit les décharges continues et intermitentes des ondes libérées par le doseur ( pyramide inverse), qui proviennent du générateur, situé bien au centre de ses noyaux moléculaires. Cette émission de fréquence peut arriver par un système dieélectrique de très haute vitesse en son axe subtil, déjà décrit ci-dessus.

LABYRINTHE DE CHARTRES – LA BOBINE DE L’APPAREIL

sistema_22_smallLa bobine ( Labyrinthe de Chartres), a comme fonction collecter le flux d’énergies qui éventuellement puissent charger des fréquences électromagnétiques ou même électroprotoniques, provoquant une coupure harmonique électromagnétique.
Telles ondes électromagnétiques pourraient imprimer des « charges parasitaires » au corps au cas où elles ne seraient pas dûment traitées à travers l’appareil ( nous verrons cela plus loin), ce qui crée un champ isolé de gravité ou anti gravité, étant donné que l’appareil Pointal Energétique utilise une transférence de fréquence pour déplacer la fréquence entre le versant de la pyramide mineure et le noyau de la bobine ( je commenterai cela plus loin), sous la condition dielectrique ou subtile. On doit prendre en considération l’action des neutrinos dans ce procédé, spécialement le neutrino muon qui est justement la sous-particule libérée par l’appareil Pointal Energétique.

A PROPOS DES NEUTRINOS:
sistema_23_smallParticules de Neutrinos en expansion.
Le Neutrino est décrit comme une particule sans masse et sans charge électrique, si infiniment petites sont ses valeurs.
Son interaction avec la matière se fait à travers la plus faible ou débile force basique de la nature et son interaction est éventuelle.
Les neutrinos appartiennent à la famille des LEPTONS, à laquelle appartiennent ausi le MUON et le si connu ELECTRON.
Le PROTON et le NEUTRON appartiennent à une autre famille de particules composées formées par des QUARKS. Les quarks sont assujettis aux cinq forces fondamentales connues jusqu’à présent :

a-) Force Gravitationnelle
b-) Force Nucléaire Forte
c-) Force Electromagnétique
d-) Force Nucléaire faible
e-) Force Electroprotonique*

Force Gravitationnelle : C’est la plus fondamentale des forces, son action dépend des masses des particules ; plus grande est la masse, plus intense est la force.
Ex. : GRAVITONS – particules qui transmettent la force entre les planètes, étoiles et galaxies.

Force Nucléaire Forte : La seconde à apparaitre dans l’évolution de l’Univers, elle lie les quarks aux protons. Elle n’agit pas sur les electrons et leur famille.
Ex : GLUONS – particules qui transmettent la force entre les ELECTRONS et le NOYAU ATOMIQUE.

Force Electromagnétique : Elle n’apparaît que dans les particules qui ont une charge électrique. Elle n’existe pas dans des corpuscules comme le NEUTRON. C’est la troisième force à se différencier dans l’histoire de l’Univers.
Ex : PHOTONS – particules qui transmettent la force entre les ELECTRONS et le NOYAU ATOMIQUE.

Force Nucléaire Faible : C’est la responsable de la desintégration de quelques particules, elle fonctionne aussi bien pour la famille des QUARKS que pour celle des ELECTRONS.
Ex : BOSONS – particules qui transmettent la force entre les NEUTRONS et les POTONS dans le NOYAU ATOMIQUE.

Force Electroprotonique : La thèse de la force ELECTROPROTONIQUE est défendue par le chercheur brésilien, José Franco Carvalho.
Dans sa thèse, José Franco défend que telles ondes synodiques ELECTROPROTONIQUES sont produites par les systèmes de tunnels matériels par où passent les particules de PROTONS et ELECTRONS.

LEPTONS : Entre lesquels les neutrinos ne sont pas affectés par la force forte. L’interaction entre les forces : « forte »et « électromagnétique » rendent propices un mécanisme pour la transformation de QUARKS en LEPTONS.
La terre tourne au milieu d’un nuage dense de neutrinos dans lequel il existe en moyenne « N » neutrinos par cm3. Cela en quelconque et tous les volumes de l’Univers, cependant, malgré le fait d’exister en si grande quantité, les neutrinos ne sont pas permanents et leur existence est éphémère. Les particules se forment et disparaissent dans l’Univers tout le temps. Donc, les neutrinos sont des sous-particules atomiques desquelles les types connus sont :

1-) NEUTRINOS ELECTRONS

Les neutrinos électrons appartiennent aux neutrinos, créés par le soleil et par toutes les étoiles qui existent dans l’Univers, plus grande ou moins grandes que lui, ces particules remplissent tous les espaces de l’Univers et, donc, sont partout.
Les neutrinos possèdent une masse presque égale à zéro. « presque » parce que, actuellement, les scientifiques atomiques attribuent au neutrino quelque masse, telle atribution est due à la constatation de conséquences d’actuation de mécanismes interactifs qui agissent sur les neutrinos et autres particules de l’Univers, sous son action, non seulement les neutrinos comme les autres particules finissent par se transmuter en sous particules entièrement différentes des originales. Donc, elles sont plus difficiles à rencontrer, même par l’actualité scientifique.
Tel procédé est très coûteux et seulement les gouvernements peuvent couvrir la recherche. Tel procédé de tentative de les capturer pour analyse en instruments, exige la construction de grands réservoirs sous-terrains contenant des tonnes d’eau très pure mélangées avec une quantité relative d’atome de chlore, qui sont appelés chambres de bulles ou chambres de Wilson. Succinctement, l’étude analyse, à travers ces innombrables senseurs extrêmement sensibles, quand une particule de neutrino electron ou de TAO transpasse par l’eau du réservoir. Le résultat de ce voyage neutrinique par l’eau, très probablement, sera de vitale importance pour une meilleure compréhension de l’Univers et son interaction avec notre ambiance célulaire.

2-) NEUTRINOS MUON : Les neutrinos muon possèdent des caractéristiques intimement liées à l’existence des CRISTAUX et à la vie organique. En fait, ils possèdent des caractéristiques semblables à celles des NEUTRINOS ELECTRONS, mais dû à l’inversion de la phase et la présence de masse plus consistente, ces neutrinos peuvent être captés avec beaucoup plus de masse et facilité, y inclus par des systèmes électroniques incorporés à des ordinateurs.

Au niveau subtil, le Pointal Energétique capte, transmute et dissipe ces particules neutriniques en un procédé semblable à la transmutation de QUARKS en LEPTONS. Comme les Neutrinos ont des caractéristiques « organiques », ils sont également produits dans les organismes par « compression des membranes ioniques »qui, dans le cas, agissent à la ressemblance de CRISTAUX piezélectriques, c.a.d. qu’une fois comprimés, ils produisent comme réaction à la stimulation mécanique, libérant alors les NEUTRINOS MUONS. L’orgasme, par exemple, est un des plus grands producteurs de neutrinos muon de tous les organismes, dû à la grande quantité de compressions ioniques provoquées par contractions et distensions spasmiques des membranes ioniques qui adviennent de l’évenement orgastique.
Les neutrinos muon ont un rôle « protecteur »des organismes vivants, en évitant le développement de « SPINS ISOTOPIQUES DE SYMÉTRIE LOCALE – S.I.S.L. » CAUSÉS PAR LES PHOTONS – THÉORIE DE Yang – Mills.
L’origine de tout le procédé dégénératif installé dans un organisme advient du dévoppement de CHARGES PARASITAIRES, provenant do S.I.S.L.
Le corps humain est enveloppé par un champ spécial constitué par des particules sous-atomiques dénommées NEUTRINOS du type MUON, produites dans les membranes ioniques, surtout dans le péritoine, très riche en potasse, dont l’importance de l’évènement orgastique qui est le plus constant possible à l’être humain.

Quand les PHOTONS ou ONDES transpassent le champ neutrinique et atteignent une structure atomique, il apparaît alors le « spin isotopique de symétrie locale » qui donne naissance à une « charge parasitaire ».
ONDES DE SPECTRO ELECTROMAGNÉTIQUES
Spectro Electromagnétique

C’est l’intervalle entier des différents types de radiation électromagnétique, ou ondes électromagnétiques.
Le spectro électromagnétique comprend un ample intervalle de longueur d’ondes et fréquences, allant des ondes très longues et par conséquent basses fréquences – ondes radio- en passant par les ondes infra-rouges et ondes de lumière visible jusqu’à des fréquences très hautes (ce qui correspond à la longueur d’ondes courtes ou simplement, ondes courtes) des rayons gama et rayons X..
Les longueurs d’ondes dans l’intervalle de lumière visible ont une couleur spécifique associée à chacune d’elles quand elles passent par un prisme. Les fréquences plus basses, les longueurs d’ondes plus longues, produisent la couleur rouge tandis que les fréquences plus hautes, les longueurs d’ondes plus courtes, produisent la couleur violette. Les longueurs d’ondes qui tombent quelque part entre deux points, produisent les couleurs orange, jaune, vert et bleu qui sont aussi rencontrées dans la région du visible des spectro électromagnétiques.

A-) ONDES DE RADIATIONS IONISANTES
B-) ONDES DE RADIATIONS NON IONISANTES
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L’ensemble de toutes les fréquences possibles est dénommé « spectro Electromagnétique », étant normalement divisé en deux régions principales : Ondes de Radiations Non Ionisantes (ORNIs) et Ondes de Radiations Ionisantes (ORI).

A-) Les ORI sont constituées de photons avec l’énergie suffisante pour produire des ions sur leur passage par la matière, soit, capables de « arracher » des électrons muon (neutrinos) d’atomes et molécules des cellules. Par rapport à la matière biologique qui forme le corps humain, ces radiations électromagnétiques avec fréquence plus haute et longueur d’onde plus courte (f>2,4×1015 Hz) ont de l’énergie suffisante pour provoquer la ionisation et une conséquente charge parasitaire s’installera très propablement sous forme d’une maladie auto-immune, car l’organisme se prépare pour ataquer un envahisseur « virtuel », puisqu’il n’existe pas réellement (matériellement). Ce qui « arrache »les électrons muons (neutrinos) des atomes et molécules des cellules, sont des ondes et non des virus ou bactéries, tel procédé auto-immune peut mener à divers types de cancer, spécialement la leucémie.

B-) Les ORNIs, au contraire des ORI, n’ont pas l’énergie suffisante pour déplacer des électrons muons (neutrinos) des atomes et molécules des cellules et ne forment pas d’ions, cependant, en fonction de cette moindre énergie, ces électrons vibrent en divers degrés et dépendant de la fréquence qu’ils utilisent, ils peuvent causer l’échauffement cellulaire avec la conséquente perte de potasse de la céllule qui entre en confusion métabolique. Entre les effets déjà constatés des ORNIs, sont : le cancer, les mutations génétiques, la chute immunologique, l’irritation du système nerveux, la dépression, etc.
Donc, il y a divers effets biologiques des ORNIs.
De cette façon, il existe alors deux risques clairs pour la santé provenant des Ondes de Radiations fréquentielles :

1-) INDUCTION DE COURANT : Inducton de courant à l’intérieur du corps par basse fréquence (plus basse que 100 KHz) = électrons déplacés.

2-) ABSORPTION D’ÉNERGIE : La conséquente élévation de température par la densité du courant induit – haute fréquence, supérieure à 100 m/A/m2 – provoque des réactions adverses dans les muscles et nerfs, avec la conséquente augmentation de température de l’ordre de 1º à 2º, donc, un état fébrile intermittent, rappelant que l’état fébrile est une réponse de la cellule, donc, en augmentant la température cellulaire d’une façon générale, il accélère le métabolisme – ce qui est appelé : « induction de disfonctions métaboliques quantitatives ».
Tel état fébrile, où les cellules s’échauffent, arrive quand l’énergie électromagnétique spécifique, absorbée par seconde, dépasse 4 W/kg pendant près de 30 minutes, altérant l’équilibre isotermique intracéllulaire en générant à l’endroit où il se rencontre, la déficience métabolique relationnée avec le mauvais processus par erreur de température.
Un appareil de téléphone portable, par exemple, crée une fréquence très haute, théoriquement échauffant quelques cellules neuronales, la propre batterie réchauffe l’oreille en produisant cet état. Le corps humain a des mécaminsmes de termo-régulateurs puisque en état normal de santé , il irradie de 1 à 2W / kg, cependant, avec l’échauffement induit par les ondes de ORNIs où il y aurait une augmentation locale de température, elle est rapidement redistribuée à travers le courant sanguin ; pour cette raison, les parties du corps avec peu d’irrigation sanguine sont extrêmement sensibles, comme les yeux par exemple, aux effets nocifs des Ondes de Radiation Non Ionisantes.

Ci-dessous, le graphique avec les limites maximum de radiation électromagnétique recommandée, diffusé par Anatel, sur le degré d’interférence et la tolérance maximum d’exposition des téléphones portables et microondes en général :
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Donc, les ORI et ORNIs s’installent comme charges parasitaires, en détruisant le champ neutrinique du corps ou menant la cellule à erreur d’assimilation de nutriments.

L’apparition de charges parasitaires fait dégrader rapidement l’état pathologique, car à mesure que les neutrinos sont consumés, le système immunologique interprète les charges (ondes d’harmonieux électromagnétiques externes) avec des macro-molécules anormales produisant des anti-corps, donnant lieu au développement d’une maladie auto-immune.
L’appareil Pointal Energétique agit comme emisseur neutrinique naturel qui répand rythmiquement de significatifs champs neutriniques, aussi bien par la forme que par la compression de masse cristalline, remplaçant de certaine façon la necessité neutrinique instantanée qui peut être attaquée par quelque type d’harmonique de haute ou basse fréquence, en diminuant sensiblement et même en empêchant, en quelques cas, que des ondes cosmiques – particules photoniques, microondes ou électromagnétiques – traversent le biochamp du corps et là s’installent, créant une charge parasitaire atteignant fatalement le système électronique cellulaire. Ce qui prévoit un état quantique amélioré de santé physique, mentale et spirituelle.

LE SYSTÈME SCAP

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O SCAP é um filtro supressor, inibidor ou bloqueador de energias negativas ou telúricas. Sua localização no aparelho Pontal Energético está na base da superfície inferior de apoio de todo o conjunto.

Le SCAP est un philtre inhibiteur qui peut supprimer et bloquer des énergies négatives ou télluriques.
Sa localisation dans l’appareil Pointal Energétique est dans la base de la suface inférieure de l’appui de tout l’ensemble.

On peut certainement déduire que le centre du triangle mineur coïncide avec le centre du labyrinthe, donc, nous avons de nouveau un élément en plus aligné à l’ensemble de l’appareil..
Le SCAP fut inventé par André Philippe – chercheur français – sur la radiesthésie radionique. Son intention est de neutraliser les ondes électromagnétiques négatives ou nocives, les ondes géopathogéniques, les ondes de formes négatives, etc.

Ce dispositif est un philtre qui vise neutraliser certaines fréquences négatives qui puissent être captées et transmutées dans l’ambiance ou dans l’être par l’appareil.

L’attirance d’ondes pour transmutation subtile est localisée au centre do triangle mineur, les points de conduction de l’onde capturée sont dans les tangences des triangles. Les champs ( 3 au total) sont des chambres de rétention d’ondes, les extrêmités du triangle majeur possèdent en leurs versants, des dessins qui rappellent une Croix Ansate (ANK), en vrai, ils bloquent la sortie d’ondes, comme des philtres de rétention qui ferment ou ouvrent sur le principe fondamental Ap. (Delta P = (Delta), le différentiel de pression de flux.

Dans les champs (3 au total), il y a des symboles, des lettres de l’alphabet hébraïque ancien, ces symboles interagissent les uns avec les autres, y compris avec les autres symboles de l’appareil, amplifiant énormément le champ fréquenciel subtil du Pointal. Quand fréquencialisées dans les « x »Hz mentaux, les ondes mentales peuvent les atteindre en créant un champ de ressonance, dont le champ est capturé et transmis à l’axe de la bobine.
Le mécanisme du SCAP possède un système de neutralisation des effets d’ondes nocives ORNIs et ORIs capturées par l’ordre de l’esprit sur la bobine ( Labyrinthe de Chartres) et remodèlées, inverties ou détruites par les cristaux de l’appareil de la personne et dissipées dans l’ambiance, donc, quand se fait le transfert de ces ondes pour qu’elles soient transmutées en accord avec l’ajustement de l’usager, il se fait une remodélation energétique de ces ondes négatives ou telluriques, non seulement de l’onde mais aussi dans l’effet de charge capturée par l’emisseur, soit une personne, soit un harmonique de telle fréquence et ensuite, la nouvelle onde reconstituée par le Pointal Energétique oscillera pure et libre de nouveau.

BASE DU POINTAL ENERGÉTIQUE
Parce que la base est fondue en bronze ou laiton (deux ligues résultantes de combinaisons métalliques), dont la titulation est basse, nous avons la composition chimique suivante :
Cuivre Cu 80% – Longueur d’onde 324,8nm = couleur Verte

Étain Sn 5% – Longueur d’onde 217nm = couleur Bleu très foncé

Zinc Zn 15% – Longueur d’onde 231,9nm = couleur bleu cobalt

Note : Tître d’un métal : Le pourcentage prédominant quand en ligue avec d’autres métaux, donc, ce qui diffère le bronze du laiton, c’est la quantité d’un métal ou l’autre en plus grande ou plus petite quantité avec les respectifs pourcentages ; les valeurs ci-dessus sont la formule du métal de l’appareil du Pointal Energétique.

GRAVURES DANS LA BASE DE MÉTAL

Les gravures de glyphes, symboles, alphabets, ainsi que de dessins qui ont une relation avec l’astronomie.
Les gravures sont des clés d’action et activation. Théoriquement, l’appareil Pointal Energétique peut accomplir plusieurs fonctions, quelques-unes spécifiques, d’autres accordées.
Ces clés supposées permettent, avec la connaisance de ses fonctions et de son activation, de connecter l’appareil inter dimensionnellement. C’est-à-dire, l’appareil peut se connecter à un shéma multitulaire de processus mental, recouvrant les consciences cosmiques supérieures, ou consciences planétaires en divers quadrants de l’Univers et même des consciences de notre dimension, como préconise le principe herméneutique, le mentalisme : L ‘UNIVERS EST MENTAL.

Pour cette raison, les activations extras de l’appareil peuvent se faire en activant des clés mentales d’un même ensemble ou peut-être 2 ou 3 ou des milliers en même temps ou actionner d’autres clés qui correspondent à un autre bloc d’informations, pouvant être aussi harmoniques, à travers le son, les notes musicales, les fréquences d’arômes ou encore des fréquences de matière.
Ainsi, l’appareil peut opérer en forme simultanée sur plusieurs situations différentes comme : élévation de niveau de conscience, modification de structure de matière (DNA, puisque le propre DNA est de structure cristalline), rectification d’ondes nocives, etc. Et simultanément en plusieurs niveaux de champs interdimensionaux, bien au-delà de notre actuelle compréhension de temps, espace ou masse.
La raison pour laquelle les symboles viennent de différentes cultures, ainsi que les alphabets, glyphes, idéogrammes, a sa correspondance avec les diverses intelligences extraterrestres qui opéraient, opèrent ou peuvent venir à opérer en différents quadrants des Univers Galactiques, intergalactiques ou des éters, y compris naturellement la planète Terre. Chaque courant de conscience inter ou extra planétaire a influencé, influence ou peut influencer dans le futur, notre ici et à présent, notre conscience cognitive physique « matérielle »ou psychique « mentale », ainsi que tout le champ de processus de pensées, systèmes d’alphabets, culture, astronomie, science, biologie, mathématique, génétique, etc. – nous n’avons jamais été seuls dans l’Univers !
Donc, en accédant au champ de fréquence de ce que l’on désire du Pointal Energétique, avec les recours choisis et utilisant exclusivement l’esprit, quelques clés peuvent être actionnées, qui activeront, sur un concept de multiplicité de ces cultures et êtres, toute une connaissance qui possiblement interagira dans le système de temps linéaire et de temps vertical du champ harmonique de l’être et de l’ambiance dans le présent, ainsi que dans les systèmes conscients et sous-conscients de la race humaine, directement coordonnés aux archétypiques verbaux et non verbaux. Tel procédé, si bien orienté, pourra activer quelques gènes du DNA, en élevant le niveau de conscience personnelle et très probablement, planétaire.
Il est important de souligner que l’esprit humain conscient procède des informations dans l’ordre de 12 à 15 bitz à peu près, étant donné que l’information procédée dans l’esprit sous-conscient atteint de 70 à 80 millions de bitz.

LE TELETRANSPORT D’ONDES DE LA PENSÉE PROCÉDÉES PAR LE POINTAL ENERGÉTIQUE PAR LE SYSTÈME ESPACE/ TEMPS NÉGATIF

Ce modèle de l’espace/temps négatif est la dimension du monde éthéré des énergies et de sa conduction et transport, qui inclut le corps éthéré humain, où les substances qui constituent nos corps éthérés vibrent à des vitesses plus grandes que celle de la lumière.
MODELOES
À propos du phénomène de la relation de transport d’énergies par l’appareil Pointal Energétique, lequel nous étudions, nous pouvons afirmer que l’appareil Pointal Energétique transporte différents types d’ondes et/ou particules. Prenant comme exemple l’énergie électrique de courant alterné, nous pouvons intuir que les fréquences envoyées par l’énergie électrique, dû à ses caractéristiques, sont transportées ou se manifestent selon la fréquence et vitesse de la lumière ou Photon. Telle hypothèse fait partie de l’expérience de Plank sur le trou noir – non astronomique – dont le fondement est dans le principe de l’Incertitude ou ce qui se définit comme saut quantique des particules.
Ce qui fait la codification d’informations en particules de lumière est justement le Principe de l’Incertitude enoncé par le physicien allemand Werner Heinsenberg (1901-1976), entre autres, il établit que, en mesurant les propriétés d’une particule, c’est indéniable qu’elle soit alternée, ainsi, si la matière intercepte une information au milieu du chemin, le récepteur peut détecter cette interception et l’intercepter, sachant que la communication a été, de toute façon, monitorée.Cela suggère que le télétransport offrirait un recours additionnel précieux, il ferait les informations disparaître à un endroit et rapparaître à l’autre, garantissant qu’elles n’avaient pas comment être interceptées.
Albert Einstein se réfère analogiquement à ce phénomène comme « Emmêlement de Particules », ce qui permettrait, en thèse, le télétransport quantique.
Un objet peut être télétransporté d’un endroit à l’autre sans même exister nulle part de ces deux points. Selon Nicholas Gisin, chercheur suisse, cette maxime doit choquer tous ceux qui y pensent.
Le Pointal Energétique procède, transmute et « TÉLÉTRANSPORTE DES ONDES MENTALES »diverses, en diverses directions, dû à son champ d’interaction avec les particules atomiques et sous atomiques, gérant une plus grande concentration d’électrons de fréquence mentale qui interagissent avec sa structure cristalline.
Les bases de sustentation du télétransport du spectre d’ondes électromagnétiques mentales sont :

1-) Le Grillage Magnétique Planétaire,

2-) La configuration et l’avancement de l’appareil,

3-) Le désir mental.

Les valeurs de ces trois bases conjointes sont bien plus élevées ou extrêmement élevées, donc, il se réfère au saut quantique de fréquence ou oscillation de particules et sous particules quantiques, disons d’ondes, donc, les électrons des ondes mentales produites dans une fréquence de près de 15 Hz peuvent être télétransportées par le Pointal Energétique. Et par conséquent, directionnées vers où nous mentaliserons le foyer de notre attention avec un degré de vitesse et consistance impressionantes. Tel procédé peut rendre réalité la conception de la Thérapie Holographique d’Accès à l’Unité d’Intelligence avec totale exactitude.

CONSIDÉRATIONS SUR LE POSITIONNEMENT DU POINTAL ENERGÉTIQUE

La sphère de la planète Terre a été divisée sur une maille imaginaire de lignes qui parcourent dans le sens longitudinal et transversal (géodésie système mercator). La division obéit à la nécessité de créer des points d’intersection pour prendre des références et situer des endroits géographiques.
Il a résulté de cette initiative une division géométrique qui répond au format de la sphère. Le système mercator divise la Terre en deux lignes principales :

-la longitude 0º, partant du centre, oaxis planétaire (Pôle Nord) et l’autre qui divise la sphère en deux hémisphères quasi identiques, décomptant l’aplatissement du Pôle Nord. Cette ligne appelée équateur est perpendiculaire au plan équatorial de la planète, inclinant à 23,5º.
Sur la longitude )º GREENWICH, à partir du pôle Nord, sont projetées les longitudes et sur l’équateur, les parallèles. La Terre étant ronde, dans le périmètre équatorial et utilisant 23Hs59’pour faire une rotation sur son axe, les lignes furent projetées avec un angle de 15º, ce qui correspond à la valeur de la circonférence – 24 lignes 360º.
Dans le cas des longitudes, il fut donné une valeur angulaire continue, avec des espaces de 15º, dans le cas des parallèles, il fut donné la même valeur angulaire, mais les symboles signalés (+) et (-), selon l’hémisphère.

Cette conception ou convention est purement conventionnelle, puisque le centre où la planète est le plus équidistante de son NOYAU FERRO-CRISTALLIN, est situé dans le parallèle + 30 Hémisphère Nord – à ce point, les forces gravitationnelles sont plus stables.
Si nous observons au cours de l’histoire de notre planète, à partir du moment où des civilisations extraterrestres auraient commencé leur programme de recherches, nous pouvons observer qu’elles ont toujours cherché à s’établir proche de ce parallèle.
C’est pour cette raison que les grands moments qui datent de temps très anciens sont plantés sur ce parallèle ou proche.
Du point de vue d’une science tournée vers une vision uniciste de l’univers et utilisant les éléments d’astrophysique ancienne et moderne, nous pouvons conclure que certaines régions de la Terre s’alignent avec des quadrants de l’Univers duquel elles reçoivent l’influence, ainsi que beaucoup d’endroits de la planète sont coïncidents avec des lignes Paralaxe d’Étoiles qui font partie d’agglomérations à constellations qui autrefois interagirent avec la planète et notre race, comme expliqué ci-dessus.

Le Pointal Energétique se situe dans un concept scientifique technologique d’une intelligence extraterrestre provenant des Hyades, qui sûrement, interagissent avec notre planète il y a des milliers d’années et le font à présent d’une forme mentale, quoiqu’on ne puisse afirmer en quel moment est faite la connexion psychique avec eux, si du passé/présent ou du futur/présent ou du présent/présent.

Quel que soit le momentum, le Pointal Energétique obéit à une coordonnée cosmique, où l’esprit est la prise, et seulement la fréquence de l’AMOUR émise par notre champ cérébral quand nous la sentons, est la clé que le branchera.

HIADES

L’appareil a son origine dans le quadrant où se situe la constellation des Hyades, avec un âge estimé par les astrophysiciens à 660 millions d’années, étant un des plus anciens agglomérés à notre alentour. Les Hyades font partie de la constellation de Taureau, elles sont proches des étoiles de Aldebaran et voisines de la constellation de Orion.

Données essentielles des Hyades

découverte (connue dès la pré-histoire)
autres noms : Melette 25 – Collinder 50
constellation : Taurus
ascension droite : 4 heures 27 minutes
déclinaison : + 16º
distance : 151 années-lumière
magnitude visuelle 0,5
dimensions apparentes : 330 minutes d’arc
âge : ~660 millions d’années

Une marque récente (1998) dans le résultat de la science des étoiles vient avec une description complète et précise du Groupement des Hyades avec plus de 200 étoiles, mesurées par l’Agence Spatiale européenne Hipparcos. Avec la possiblité de cette observation être vaincue par la distance, on peut analiser un ensemble historiquement important d’étoiles jusqu’à présent connu un peu plus que 1%, où sont mises les théories de l’évolution des étoiles comme un tout et finalement, avec une base un peu plus sure.
Des groupements d’étoiles sont cruciaux pour comprendre les vies des étoiles à tous les endroits de l’Univers, parce que tous les ensembles d’un groupement se sont formés en même temps et des mêmes matières-premières. Les astrophysiciens peuvent « voir »comment l’évolution de chaque étoile dépend de sa masse et composition chimique. Plus l’étoile est lourde, plus intensément, elle brule et plus vite elle consomme son combustible termonucléaire. Mais la précision de ces théories est très limitée jusqu’à présent par des inexactitudes dans les observations.
Les ensembles plus lumineux des Hyades sont visibles à l’oeil nu, plus avec des jumelles, et forment justement le dessin tridimensionnel des cristaux du Pointal Energétique ; ils sont dans la constellation de Taurus, comme groupements plus proches d’étoiles, ils sont moderément riches en luminosité. Les Hyades ont sommé de grandes discussions entre astrophysiciens pendant plus d’un siècle. Toujours avec des résultats contradictoires par rapport à la distance du groupement des étoiles, ce qui laisse généralement de grands points d’interrogation. Diverses théories et hypothèses furent levées et même de récentes observations avec le Hubble Telescope Spatial, ne firent qu’approfondir encore plus le mystère.
C’est alors que quelques astronomes de ESA, Observatoire de Leiden, de l’Observatoire Paris/Meudon, de l’Université de Lausanne et de l’Observatoire de la Côte d’Azur, ont joint leurs efforts et ont résolu d’analiser pratiquement toutes les données disponibles des groupements des Hyades et qui étaient, en grande partie, accumulés dans des archives d’ordinateurs et qui avaient été envoyés par le satellite Hipparcos.
Après d’exténuantes études, calculs et déductions, ils ont publié, alors, tous les résultats de leur recherche, avec des avis très conclusifs et inédits sur les Hyades, dans le Journal Européen d’Astronomie & Astrophysique, en mars 1998.
Quelques conclusions furent : surtout sur la réelle distance du centre du groupement des Hyades, qui est de 151 années-lumière (46.34 parsecs) avec un doute de moins d’une année-lumière (0.27 parsec). Les astronomes ont pu dater la naissance des Hyades en près de 625 millions d’années en arrière. Selon les astronomes, théoriquement,ici sur la terre, il n’existe que des systèmes bien primitifs de vie, probablement la vie serait encore submergée dans « l’Eau » !
Ce qui a permis et permet, théoriquement, la survivance des Hyades pendant si longtemps, est justement le modèle de « groupement ».
Paradoxalement, les étoiles individuelles de Hyades sont jointes, comme un « tout ». Tels groupements ou ensembles assument une forme de réponse semblable à celle d’une « étoile individuelle »comme si elles étaient individuelles dans le TOUT et les étoiles individuelles agissent comme si elles étaient le « propre groupement en TOUT »entourées par la gravité du groupement ; ses mouvements collectifs et individuels furent analisés par le satellite Hipparcos.
De nouveau, une connexion impressionante avec le principe Herméneutique – le principe du mentalisme, qui préconise :
L’Esprit du « TOUT »est en son esprit et son esprit est dans l’esprit du « TOUT » !
De nouveau, une autre connexion impressionante avec le Système Paramètre des Cristaux qui nous dit :
« Le degré de symétrie détermine et indique la somme des divers éléments comme : plans, axes et centre, typiques de chaque classe, où les constantes cristalographiques de chaque classe fournissent la base de son « GROUPEMENT EN SYSTÈMES » ; chaque système inclut les classes qui ont le même système d’axes et la même raison paramétrique ».
Le résultat est un filme3-d orbital du groupement : une animation qui est disponible dans Internet (voir plus loin). http://astro.estec.esa.nl/Hipparcos/hyades.html
Des groupements périphériques peuvent être observés qui partagent le même mouvement général et simultané à l’ensemble des Hyades, tandis que d’autres groupements sont rejetés pour des raisons de distance ou trace. Les mouvements internes dans les groupements, révélés par Hipparcos sont presque imperceptibles. Des étoiles relativement volumineuses s’enfoncent vers le centre de gravité du groupement. Quelques autres étoiles, cependant, quittent lentement les Hyades, tandis que d’autres s’évaporent « lentement » dans le champ gravitational du groupement comme résultat de collisions entre elles et la proximité du groupement.
Théorique, des systèmes galactiques inimaginablement volumineux furent attirés de quelque forme gravitationnelle vers les Hyades, où, à travers ces rencontres gravitationnelles, les groupements se seraient formés.
En déchiffrant une Pierre de Rosetta :
« Le groupement de Hyades a assumé presque le rôle de la Pierre de Rosetta de l’astronomie – commenta le Prof. Michael Perryman de la Division d’Astrophysique de ESA à Noordwijk – Pays-Bas, qui est l’auteur de vangarde dans l’étude des Hyades »
Cela nous permet de déchiffrer plusieurs des mystères des étoiles, mas jusqu’à présent, les incertitudes dans les observations ont laissé tout très nébuleux et de difficile lecture de confiance. Disons qu’à présent, nous arrivons à éclaicir cette Pierre de Rosetta au point de la lisibilité complète.
La distance des Hyades a toujours donné des résultats incompatibles. Des estimatives qui confiaient dans les mouvements du groupement des étoiles exagérait la distance, à cause de petites erreurs systématiques utilisées dans le système de références d’évaluation basés sur le mouvement de la Terre. Quand les astronomes tentèrent mesurer les distances des étoiles directement à travers le parallax (changement de positions apparentes comme l’orbite de la Terre autour du soleil), de petites différences systématiques dans les déterminations étaient toujours rencontrées, donc, telle médition menait à une distance calculée typiquement moindre.
De l’espace, le satellite Hipparcos a donné son point de départage. C’est alors que nous avons obtenu beaucoup de meilleurs parallaxes des mouvements stellaires et qui, ensemble, ajustèrent une description parfaitement consistante et conclusive sur la distance des Hyades.

La distance des Hyades est aussi le point de départ pour les mesures de distances astronomiques qui s’étendent le long de notre galaxie, la Voie Lactée et au delà.
Leur mesure précise devra être bientôt imprimée dans la presse, alors, dans la balance des distances globales et de l’âge de l’Univers qui a déjà émergé comme aires saillantes de recherche.

Pour plus de détails sur la mission de Hipparcos, accédez au site: http://astro.estec.esa.nl/Hipparcos
Et voyez une animation en 3-D des Hyades.
Cosmo Fernando Pacetta
16/02/2003 – 5:12am
Fontes pesquisadas:
1) G. Brocardo, Pedras Preciosas – Ed. Siciliano.
2) Richard Gerber – Medicina Vibracional – Ed. Cultrix.
3) Victor Mattos – Medicina Quântica – Ed. Corpomente.
4) Bárbara Ann Brennan – Mãos de Luz – Ed. Pensamento.
5) Jacques la Maya – Medicina da Habitação – Ed. Rocco
6) Revista Engenharia n° 552/02 – Experiências em medição dos Campos Eletromagnéticos.
7) O Caibalion – Ed. Pensamento.
8) Humberto Rohden – Einstein , O Enigma do Universo – Ed. Alvorada.
9) Stephen Hawking – O Universo numa Casca de Noz – Ed. Mandarim.
10) José Carlos Franco de Carvalho – Síntese Completa da T.G.F.Q.